Picasso
lui-même reconnaît et signe un Réal
Lessard
"Dans un restaurant d'Antibes,
Picasso a échangé une de ses toiles
: une Corrida,
contre un Modèle dans l'atelier peint
par Réal Lessard. Picasso signa, garda la toile
et la fit reproduire dans un de ses livres."
Réal Lessard, «L’amour du faux
», Hachette, 1988, pg 175
Un vrai Réal Lessard
à l’affiche d’une exposition consacrée
à Fernand Léger
Un Réal Lessard
figure à l’exposition « Hommage
à Dufy » :
"Le Champs
de courses", cette toile fut présentée
comme un authentique Raoul Dufy et figura à
l’exposition « Hommage bis » à
la galerie Pont-Royal à Paris en 1963.
Van Dongen reconnaît
et signe une toile de Réal Lessard comme sienne
:
"Portrait de femme
avec chapeau à plumes", cette toile
fut peinte en 1958 à Hollywood par Réal
Lessard qui avait pris pour modèle une jeune
Américaine. « J’avais atteint l’art
du maître, puisqu’il ne savait plus démêler
son œuvre de la mienne».
Un Réal Lessard
dans la collection d’Henri Ford III
"Nymphe",
une gouache peinte par Réal Lessard et présentée
comme un Derain, serait toujours dans la collection
d'Henri Ford III. Cette toile fut authentifiée
par Alice Derain, qui y apposa son cachet en 1962
et certifiée par un expert de renom.
Jeanne Modigliani, fille
de l’artiste, authentifie un Réal Lessard:
"Portrait de
femme", ce dessin, aquarelle et gouache,
fut présenté comme un authentique Modigliani
et fut vendu au musée japonais Bridgestone
en 1964.
« Lessard apporte
à la peinture du vingtième siècle
une troisième dimension inconnue: l'interprétation
»
Jacques Attali, Apostrophes,
janvier 1988
« Réal Lessard
réunit dans la même personne : Modigliani,
Derain, Matisse, Dufy, Marquet, Van Dongen, Braque,
Léger, Picasso, Vlaminck, Chagall»
Bernard Pivot, Apostrophes,
janvier 1988
« La confession
de Réal Lessard : «L’amour
du faux», une bombe dans l’histoire
de l’art et déjà un best-seller
»
Bernard Pivot, Apostrophes,
janvier 1988
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